Votre réponse fait suite à l'article :
La grande assymétrie
Je ne vous avais jamais encore parlé de ma profonde admiration pour Stephen Jay Gould, tant pour l’homme et le véritable humaniste qu’il était, que pour son œuvre immense, à la fois littéraire et scientifique[1].
En apprenant la nouvelle de sa mort, le 20 mai 2002, j’ai ressenti une grande tristesse, celle qu’on ressent lors de la perte d’un ami proche. La lecture de ses livres était pour moi comme une conversation amicale et chaleureuse, et me donnait l’impression d’une certaine intimité avec l’auteur. (...)
Retourner à l'article